Conditions médico-légales

9 11 2009

Les problèmes médico-légaux sont très complexes en milieu hospitalier, en plus de la basique législation du droit à l’image. Il est hors de question pour un photographe de pénétrer dans un bloc opératoire, même introduit par un tiers, sans l’autorisation de l’administration hospitalière, du chef de bloc, du chirurgien et de l’infirmière responsable de la salle prévue. Facile à comprendre quand on saisit les conséquences humaines désastreuses d’un incident, et les implications judiciaires. C’est aussi là que se situe l’avantage qu’a le photographe / anesthésiste…

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Le photographe doit impérativement être un personnel entraîné à l’activité en bloc opératoire

Conditions afférentes à la présence (autorisée!) du photographe en salle 

Règles de comportement par rapport aux personnels médicaux et non-médicaux

Règles de comportement par rapport aux protocoles et procédures réglementaires

Règle d’or : ne pas interférer activement ou passivement sur le déroulement de l’intervention, comme en compétitions sportives ou lors des mariages! Par exemple on ne peut déplacer les personnes, modifier la scène, changer les éclairages, suspendre la procédure, sauf bien sûr si c’est une demande expresse des intervenants.

 Le photographe doit impérativement être un personnel entraîné à l’activité en bloc opératoire, et/ou encadré par du personnel compétent.

L’apparition éventuelle du patient sur le cliché, un tant soit peu identifiable, est soumise à des règles strictes

Pour une réactivité et l’anticipation nécessaires, une bonne formation est comme partout souhaitable.